Ses oeuvres


Alors qu'il échoue dans le métier de graphisme, car il veut faire "du graphisme pour lui-même, c'est-à-dire inventer, chercher, sans être tributaire d'un commanditaire!" ce qui n'était pas envisageable même au sein du groupe Grapus, il cherche sa voie. Il s'attache à redonner fond et forme à ses idées.
Skulptur Sortier Station, Munster, 1997
oeuvre racheté par le centre Pompidou


Time to go, Musée d'Art Moderne de la ville de Paris, 1997

Monument Spinoza, Midnight walkers & city sleepers, Amsterdam, 1999

Bataille Monument, Kassel, 2002

Cavemanman, Barbara Gladston Gallery New-York, 2002
Oeuvre dont je vous parle ci- dessous.


Il montre ce que l'on ne veut pas voir.

Hotel Democracy, Galerie Friedman Londres, 2003
Série desantalgique, Musée d'Art contemporain2005

Tattoo


Headshot and four headshot, 2006
Equality Float, 2008
















Thomas Hirschhorn sort du musée, souvent, implique le spectateur, citoyens. Parfois dérange, paie de sa personne en tenant le siège de quelques expositions, s'appuie sur les débats culturels et politique du moment. Il fait beaucoup d'installations précaires, donc rare, fragile et fait main. C'est souvent un résultat désordonné, brouillon fait d'improvisation qui en ressort.
Spinoza Car, Amsterdam, 2009


One day sculpture, New Zealand, 15 mars 2009 (24h)
Installation Spinoza




Burning everywhere, 2009
                                          Théâtre précaire, Biennale à Rennes, 2010


Too too- much much, 2010

Il dénonce:

"Je ne fais pas de l'art politique. Je fais de l'art politiquement."
Crystal of resistance, 2011
 



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